On trouvera, au fond de la galerie, une étagère avec des bouteilles de vin rouge (St Chinian, récoltant), quelques briques de jus de fruit et des gobelets. Public peu nombreux qui discute de l'exposition.
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Galerie assez spacieuse. Dans la pièce au fond, une table avec un empilement de cubitainers (vins blanc et rouge) à faire pâlir Daniel Spoerri fait office de buffet. Chips, bretzels, pistaches. Las, les organisateurs ont sous-évalué le besoin en gobelets, il n'y en a plus!
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Petite salle, public nombreux. Le buffet de bons gressins est mêlé aux œuvres exposées. Un peu plus loin, au fond, distribution de boissons: vins blanc et rouge de bonne qualité, eaux gazeuse et plate. Pour compléter, un grand plat de tomates cerises. Ambiance amicale, mais on parle beaucoup d'art notamment avec les artistes présents.
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Dans la petite pièce à l'étage, un serveur propose un bon champagne dans des gobelets à pied en plastique. Pas autres éléments de buffet. On ne parle pas de l'exposition.
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Une petite dizaine de personnes dans la galerie, vers 19 heures, visiblement des habitués. Un carton atteste qu'il y a bien vernissage. Aucune trace de buffet.
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Grande galerie avec une salle au plafond très haut. Dans l'entrée, une grande table avec des verres, des bouteilles de vin blanc et d'eau minérale. Alors qu'il s'agit d'une galerie très haut de gamme et d'un public très chic, on se sert à la bonne franquette. Bouteilles et verres sont renouvelés régulièrement.
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Public pas très nombreux qui se perd un peu dans les salles multiples de la galerie. Dans une salle peu éclairée du fait d'une erreur de commande électrique se trouve une table avec une vingtaine de verres ballon, une bouteille de vin blanc, deux bouteilles d'eau. Au bout de 10-15 minutes la lumière est rallumée. Après encore quelques 5-10 minutes, le galeriste arrive et propose à boire. On parle surtout d'argent.
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L’exposition se situe dans un complexe réunissant salle de cinéma, galerie, scène de théâtre. Difficile de savoir où se trouve le buffet. Un grand nombre de gens attendent à l’étage mais aucune table n’est visible. Il n y a pas de discours. Quelques minutes après l’ouverture de la galerie, deux serveurs en uniforme apportent sur des plateaux, l'un des jus de fruits frais (ananas, fraise, maracuja) et d'autres boissons non alcoolisées (coca, guarana, eau), dans des verres ; l'autre serveur apporte des fruits secs dans des sortes de verres à shooter en plastique (donc en petite quantité par portion). Les plateaux sont difficiles d’accès vu le nombre de personnes mais les allers et retours des serveurs sont nombreux. Les conversations tournent un peu autour de l’exposition.
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Sur les rives de la Charente, le site du FRAC d’une région vouée à fusionner avec ses voisines propose certainement l’un des meilleurs buffets de vernissage de tout le grand Sud Ouest. La visite de l’exposition est facile à éviter : le buffet se tient dans l’entrée. L’ambiance est fort conviviale. Les conversations ne concernent pas l’exposition et se concentrent surtout sur la qualité du buffet. Le cocktail débute avec du saumon fumé et du tarama citronné. Boudins noirs, chiffonnade de jambon cru et rillettes de canard succèdent aux saveurs marines. Le pain de campagne est excellent, le cantal est découpé en forme de petits dés et les fruits sont de saison. Il est cependant regrettable qu’un tel buffet propose des vins et des jus de fruits issus de l’agriculture biologique dans de vulgaires gobelets de plastique blanc.
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Galerie assez petite. Le buffet est correct (canapés, raisins, bon vin blanc sec; en quantité). Gobelets en plastique. Le public s'intéresse à l'exposition.
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On sera obligé de passer par l'exposition avant d'accéder au buffet, situé dans la cour, pour l'occasion couverte par une immense tente, avec moquette bon marché, ce qui donne à l'ensemble un air de salon automobile de troisième catégorie. Les mets sont de qualité (entrées de toutes sortes, paella, fromages, très bons desserts, notamment une crème brûlée à l'abricot). Mais on se heurtera à un gros problème d'organisation. Il faudra attendre longtemps avant d'être servi, puis on ne saura pas où poser sa grande assiette et son verre (aucune table en vue). Quant aux boissons … Sangria pendant un quart d'heure, puis coca et eau pétillante (et les bouteilles de vin resteront dans leurs cartons, sur ordre de la direction, suite à des plaintes déposées par le voisinage). Les conversations donnent libre cours à la colère du public.
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Pour le trajet jusqu'au lieu d'exposition, on prendra l'autocar gratuit (rendez-vous devant l’échafaudage du Crillon, place de la Concorde, Paris). Viendront ensuite quarante minutes de discussions et de mal au cœur. Une fois arrivé dans le hall du bâtiment, on écoutera des discours brefs et à l'heure (élus locaux, organisateurs et artiste). Puis viendra l'excellent buffet où le ''produit'', au sens gastronomique du terme, est mis en avant. Le tout, à profusion. Salades de toutes sortes (mesclun, mâche, sucrine ..). Plateau de fromages de chez l'artisan fromager-affineur (avec raisins rouges, blancs, rosés). Pains de qualité. Vins naturels (plusieurs sortes de vins rouges et de vins blancs). Et service soigné. Il faut surtout souligner l'ambiance festive et les conversations très enjouées. Avec chansons dans l'autocar du retour.
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Les exposants ont reçu chacun un ''pack vernissage'': une bouteille de champagne Jacquart, deux paquets de biscuits pour apéritif Tyrrel's, six gobelets en plastique et un seau à champagne, aussi en plastique. Il s'agira donc pour eux de profiter de ces merveilles en catimini, ce qui est d'autant plus facile que le public est peu nombreux.
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Les exposants ont reçu chacun une bouteille de Perrier-Jouët et quelques coupes. Deux écoles s'affrontent: soit, ils la boivent discrètement dans un coin du stand, soit ils la mettent de côté. Seule la galerie Arnaud Lefebvre a fait un effort: excellente tarte aux pommes faite maison et bon vin rouge. En bout de bâtiment (architectes Jakob + Macfarlane, 2012), on trouvera un lounge confortable avec une belle vue sur la Seine, mais le bar y est payant.
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Transporté au temps des Romains dés l'entrée dans ce lieu spécialisé dans l'art antique, on profitera d'un buffet exceptionnel. Pains d'après une recette de Caton, viandes en sauces, fruits secs, céréales, vin aux épices... Beaucoup de plats combinent les saveurs sucrées-salées tant appréciées par les Romains. On y retrouve également de nombreuses herbes aromatiques: anis, cumin, feuilles de laurier. La conversation porte sur le buffet; très bonne ambiance, même si une bonne partie du public s'intéresse à l'exposition.
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Bel hôtel particulier ( vastes salons de réception, parquet noir, colonnes, cheminées en marbre, lustres en cristal...) La foire est ouverte, tous les exposants sont sur leur stand. Le public fait la visite. De temps à autre passent des serveurs qui proposent des morceaux de pizza très moyenne et du vin dans des gobelets en plastique.
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Le local est assez petit et le public est clairsemé. Au bout de dix minutes, un serveur apparaît avec quelques coupes (en verre) d'un assez bon champagne. On le reverra assez souvent. Conversations variées.
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Quelques bouteilles de vin rouge sans grande qualité et un stock de gobelets en plastique composent le buffet. Public pas très nombreux tournant le dos aux œuvres. Ambiance désabusée.
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Le lieu d'exposition est clair et élégant. On le traversera rapidement pour arriver au buffet, une grande table à l'extérieur avec vue sur le Rhin. Très bon buffet campagnard. Service soigné. Ambiance chaleureuse.
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Une bouteille de rouge, une bouteille de blanc et une bouteille d'eau pour le public. Quelques bouteilles de champagne pour les amis des organisateurs. Ambiance à l'avenant.
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Édifié à partir de 1897, pour l'exposition universelle de 1900, le Grand Palais est constitué, sur une longueur de près de 240 mètres, d'un espace imposant surmonté d'une large verrière. Les bouteilles de champagne Perrier-Jouët (fournies par l'organisation de la foire) sont, ou bien pour les galeristes et leurs proches, ou bien restent fermées ou cachées. Ambiance tiède. A noter, un agréable coin salon au 1er étage (confortables fauteuils Poet du designer Finn Juhl).
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L'ambiance est assez moyenne: le public s'intéresse à l'exposition. On profitera donc à loisir du très bon buffet (fromages et jambon corse, pain de campagne, vins). Service soigné.
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Cinq personnes ont obtenu un verre de vin. Rien pour les autres. Public peu nombreux et assez âgé. Les conversations portent sur l'art et la vie artistique.
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Le buffet est placé juste après l'entrée de la galerie. Une charmante jeune femme fait le service. Bon Quincy, eau minérale et conversations amicales.
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Les boissons sont variées (Ricard, Lillet, Badoit ..) et le service est soigné. Mais il n'y a rien à manger. L'ambiance est assez reposante. On appréciera le coin salon confortable et design.
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White cube classique. Mais on y trouvera de la bière à la pression, ce qui est rarissime dans une galerie. Peu de monde. Très calme. Il n'y a rien à manger.
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Caramels mous exceptionnels confectionnés sur place par un artisan-pâtissier. Très peu de monde. La conversation porte sur les caramels.
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Il faudra monter deux étages d'un petit escalier en bois un peu vermoulu pour arriver dans un lieu plein à craquer où un public assez jeune boit de la bière au goulot. Festif.
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Une partie de la galerie a été transformée en vestiaire de stade de football (bancs en bois, armoires en fer, maillots – mais pas de douche). L'ambiance y est assez enjouée. Mais le Spritz est mauvais (Aperol et Valdobbiadene bas de gamme) et il n'y a rien à manger.
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Portes fermées. Un responsable vient annoncer ''qu'il y a du retard. L'accrochage est encore en cours. Repassez dans vingt minutes.''
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White cube chic. Joli escalier en métal brossé. Un serveur passera de façon intermittente avec un plateau et proposera un bon vin blanc. Calme. Le public s'intéresse un peu trop à l'exposition.
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Première maison de la culture à avoir été réalisée dans des locaux conçus à cet effet en fonction de son utilisation culturelle pluridisciplinaire (1966, architectes Pierre Sonrel, Jean Duthilleul et Manuel Gogois), la MCA, ou MACU, est inscrite à l’Inventaire général du patrimoine culturel. Il faudra patienter pendant les discours, heureusement très brefs, des nombreux intervenants, organisateurs, coorganisateurs et financeurs divers. Excellente idée, le buffet est situé avant l’accès aux salles. Il est appétissant, joliment arrangé, garni de charcuteries locales, fromages et autres délicatesses. Les vins, blanc et rouge, et les jus de fruits, sont servis par un personnel jeune et souriant, dans des vrais verres à pied. Mais les conversations restent trop sérieuses. Certains convives ne parlent pas du tout. Ils sont trop occupés à élaborer de savants sandwichs et canapés à l'empilement osé, et leur stationnement obstiné ne permet pas de profiter des agapes avec sérénité.
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Le lieu d'exposition est une librairie décorée avec goût. Le grand nombre de livres, d'étagères et de meubles de rangement gêne l'approche du buffet, déjà rendue difficile par le public très nombreux . Grandes tables surélevées par l'artiste pour être plus accessibles. Très bons vins du Domaine des Capots à Fleurance (attention aux gobelets en plastique). Charcuteries, salades, melons, gâteaux de toutes sortes. Les conversations enjouées ne portent pas sur l'exposition mais sur le football, la littérature et la gastronomie.
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C'est dans la charmante vallée de la Seye que se trouve la magnifique abbaye cistercienne de Beaulieu-en-Rouergue, édifiée au XIIIe siècle. On aura vite compris que si le public est si nombreux (et a fait tout ce chemin), c'est pour le buffet et pas pour l'exposition, que l'on peut éviter puisque située dans une autre salle). Le buffet est préparé par des petits producteurs locaux qui n'hésitent pas donner des explications sur les vins, charcuteries, salades, pains de campagne ... élégamment disposés sur de grands tables. Ambiance assez festive.
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Beaucoup de monde dans cette galerie toute en longueur. Il faudra donc se frayer un passage vers le bon buffet (toasts d’une grande saveur, à profusion, olives et bons vins de la région). Verres. Les conversations n'abordent que très brièvement la problématique des œuvres exposées.
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Le lieu est un petit salon de coiffure clair et moderne. Bon champagne, vins, chips, toasts, petits fours. Service soigné et ambiance sympathique.
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L’accès à la maison populaire n’est pas des plus simples. À noter sur la façade, une belle reprise de la vague d’Hokusai en mosaïque. Au milieu de l’espace d’exposition, qui est aussi le hall d’accueil de la structure, on déplorera un semblant de buffet monté à la va-vite sur un coin de table : chips et bretzels dans des saladiers, gobelets en plastique blanc et cubitainer d’un vin rouge médiocre; la seule bonne surprise restant sans nul doute la bière étonnamment fraîche. Il faudra se servir soi-même. Conversations assez mornes jusqu' au moment où elles ont agréablement dévié sur les ''gens de l’art contemporain'', hautains et élitistes, fustigés derechef par un montreuillois sortant au même moment de son cours de musique.
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Chips, cacahuètes, biscuits pour apéritif, nappe en papier, gobelets en plastique, vin rouge passable. J'allais oublier les jus de fruits industriels dans leurs emballages en carton. Les discours sont un peu trop longs et l'ambiance est studieuse. Les responsables du lieu devraient pourtant savoir ce qu'est un bon vernissage puisque la médiathèque possède presque toutes les éditions du guide Legrand!
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Le buffet est situé sous des arcades typiques du Lauragais. Une cinquantaine de personnes. Quiche, pizza, tartines, chips, vins, jus de fruits. Le tout, correct, sans plus. Gobelets en plastique. Accueil sympathique.
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Bel immeuble ancien en briques au bord de la Garonne. L'espace d'exposition, assez petit, est encore en travaux. Beaucoup de monde. Un serveur passe avec, tantôt un plateau de charcuteries, tantôt un plateau de sticks de légumes avec sauce. Coca-cola, jus de fruits, eau minérale. Un bon vin de Cahors est servi à doses homéopathiques. Les conversations, tristes et sérieuses, portent sur la vie culturelle toulousaine.
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L'exposition a lieu dans un bar à vins créé par neuf vignerons. Très bons vins locaux (du collectif), bio ou naturels, en quantité. Verres à vin. Ambiance festive. Personne ne regarde l'exposition. Dommage qu'il n'y ait rien à manger.
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Le lieu est un atelier artisanal de joaillerie avec un espace clair et moderne pour les expositions. On trouvera un bon Cava mais très peu à manger (chips, noix, pistaches). Service correct. Ambiance agréable.
Exposition dans le joli jardin d'un hôtel particulier du 18ème siècle, construit à l'emplacement des remparts détruits sur ordre de Richelieu après la reddition de la ville en 1629 devant les troupes catholiques royales.Les conversations calmes et amicales ne portent pas sur l'exposition. Service correct. Les tartes maison sont très bien, mais les vins en cubitainers et les boissons aux fruits (Pulco) sont très moyens.
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Exposition dans un couloir très propre au rez-de-chaussée d'un immeuble bien quelconque. Sinon rien. Ils installent encore. Pas de public. Pas de buffet.
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Vaste lieu d'exposition au troisième étage d'un bâtiment assez imposant (ascenseur). Le Cava et la bière sont très moyens mais en quantité. Les roulés à la graisse de porc, les tramezzini à l'aïoli et et les chips sont vite écoulés car il y a beaucoup de monde. Les conversations sont enjouées mais il fait trop trop chaud et une performance bruyante arrive comme un cheveu sur la soupe.
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Inspirées par l’architecte Baltard, les halles de Lourdes, inaugurées en 1900, proviennent du marché dit de la Pierre, à Toulouse. Rénovées en 2007, elles abritent un marché couvert et la médiathèque.
L'emplacement réservé au buffet se trouve en dehors de la salle d'exposition. Discours brefs mais un peu tardifs. Buffet correct et copieux fait par un traiteur local (canapés, feuilletés, vins du pays). Service souriant. Conversations amicales sur l'architecture et les médiathèques.
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Le buffet est à l'extérieur, dans l'agréable parc qui jouxte la Villa Fould, un bâtiment du XIXème siècle de style anglais joliment restauré. Il est donc inutile d'aller voir l'exposition située dans une annexe moderne et exiguë. Les discours sont tardifs et assez longs. Ce n'est qu'au bout d'une heure que l'on pourra s'approcher du buffet très correct préparé par un traiteur local. Vins du pays et jus d'orange. Les conversations sont calmes et amicales.
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Le buffet est situé au fond du vaste atrium de ce bâtiment clair est fonctionnel. L'exposition est située à côté, il ne sera donc pas nécessaire de voir les œuvres pour accéder au buffet. Les discours sont assez brefs. Peu de monde. Le buffet, préparé par un traiteur local, est très correct (canapés, sandwichs, petits gâteaux) mais sans originalité. Ambiance calme.
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Un public de huit à dix personnes s'intéresse intensément à l'exposition. Personne ne parle. Un buffet tiré au cordeau forme une jolie composition géométrique: une ligne de sept bouteilles en fond, puis une assiette de petites tomates posées en cercle, encadrée de deux petites piles de serviettes en papier. Personne n'y touche.
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On sera tout d'abord surpris par la présence imposante de l'immense artiste, sans doute plus de deux mètres, juste devant l'entrée de la petite galerie. Ayant demandé si c'était une performance, la charmante hôtesse nous répondra que non, il est tout le temps comme ça. A part cela, pas de buffet et le maigre public s'intéresse à l'exposition.
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Il faudra monter un escalier pénible pour accéder à cet ancien atelier de confection transformé en galerie par Philippe Barthélémy et Sylvia Griño en 1992. On remarquera le magnifique parquet aux lames à bords dissymétriques conçu par les architectes. Très bon côtes-de-duras, jus d'orange, eau minérale. Service soigné. Rien à manger. Le public s'ennuie un peu.
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Le maigre public s'intéresse à l'exposition. Le buffet est correct: punch maison préparé par la galeriste, fromages, pain de campagne, bonbons, vin.
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L'exposition occupe le rez-de-chaussée de cet hôtel quatre étoiles. Le public mal à l'aise et le lieu se prêtant mal, par sa configuration, à un vernissage enjoué, l'ambiance est assez morne et les rares conversations portent sur l'exposition. Sinon, le buffet est très correct: très bon champagne, beignets d'aubergines, pizzas. Service professionnel.
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Petit buffet très moyen (pop-corn, bière, coca-cola, gobelets en plastique). Peu de monde. Mais la galeriste est sympathique et nous invitera à faire de la balançoire avec elle (sur un mix de banc et de rocking-chair).
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La galerie est de type white cube chic. L'ambiance est assez pincée. Le public s'intéresse aux œuvres et le buffet est tout au fond, gardé par deux personnes à l'air sévère, habillées en noir. Personne ne s'en approche.
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Beaucoup de monde devant cette petite galerie. Les conversations portent un peu trop sur l'exposition. A l'intérieur, quelques personnes regardent attentivement les œuvres. Le buffet est assez faible: vins corrects, très peu à manger (une assiette d'amandes, deux minuscules cakes aux olives, chips), gobelets en plastique.
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Quelques bouteilles et une assiette en carton de neuf petits gâteaux sont posées sur le bureau au fond de la galerie. Conversations assez enjouées.
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Quelques personnes regardent attentivement les œuvres. Les autres parlent de tout et de rien. Le buffet (trois bouteilles de vin, verres à pied) est installé sur une petite table basse, au fond de la galerie.
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On trouvera un pauvre petit buffet près de l'entrée de la galerie (gobelets en plastique, jus de fruits, mauvais vin rouge). Le public ne s'intéresse pas à l'exposition. Les conversations sont donc assez enjouées.
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Nous cherchâmes dans la salle d'exposition, derrière le bureau, dans la petite salle. Pas de buffet. Très peu de monde.
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White cube classique. Le public, peu nombreux, parle d'art. Buffet très réduit (quelques bouteilles, chips, cacahuètes, gobelets).
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La galerie est située tout au fond d'une petite cour pavée. Le public s'intéresse tellement aux œuvres qu'il ne réagit même pas quand la galeriste propose des jus de fruits tirés du très modeste buffet (gobelets en plastique, assiettes avec quatre ou cinq biscuits chacune, vin et, donc, jus de fruits)
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Un lieu quasiment inconnu et qui fait tout pour le rester. A l'extérieur de l'immeuble, aucune indication. Sans code d'entrée, il faudra attendre que quelqu'un sorte pour pouvoir se glisser à l'intérieur. Là, il s'agira de repérer la boîte aux lettres avec, en tout petit, le nom du lieu d'exposition et l'indication de l'étage, le cinquième. L'absence d'ascenseur et la raideur de l'escalier dissuaderont même les plus courageux.
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La cour vitrée du Palais des Études a été aménagée au XIXème siècle avec une charpente métallique et quelques polychromies inspirées de Pompéi. Ce bel espace de 800 m2 a été récemment restauré. Le buffet est situé juste en face de l'entrée. Service professionnel, grand choix de boissons (on remarquera l'excellent champagne et le Lillet rosé). Mais il n'y a rien à manger. Beaucoup de monde. La conversation reste courtoise et urbaine. Et, bien sûr, pratiquement personne ne s'intéresse à l'exposition.
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Le public s'intéresse à l'exposition, les conversations sont donc assez molles. Le buffet très moyen (vins et jus de fruits assez corrects, biscuits industriels, gobelets) se trouve dans une petite salle au fond de la galerie, à droite.
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Un guéridon près de l'entrée avec trois bouteilles réservées aux galeristes et à leurs proches (champagne, vins rouge et blanc). Nous avons rusé pour obtenir un verre, rien n'y a fait (nous fîmes même semblant de nous intéresser à l'exposition). Très peu de monde.
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Ambiance très calme, les conversations portent sur l'exposition. On trouvera trois coupelles de bretzels industriels sur un rebord. Une photographe mitraille le maigre public à tout va, on se demande pourquoi.
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Le personnel est en retard et installe encore quelques meubles, d'où bruits de perceuse, papier bulle et cartons au sol. On ne le dérangera pas plus longtemps.
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La rotonde de la Villette, bâtiment monumental, est constituée de pierre de taille en façade. Son plan associe des figures simples inspirées de l'Antiquité classique, avec un carré externe en croix grecque et un vaste cylindre interne à puits zénithal, à la manière de Palladio. Construite juste avant la Révolution par l'architecte Claude Nicolas Ledoux, elle était un des éléments du mur des Fermiers généraux, destiné à la perception de l'octroi. La galerie occupe deux petites salles du bâtiment. On se verra offrir une infâme lavasse dans un gobelet en carton. Alors que quelques privilégiés auront un espresso ristretto du restaurant qui partage les lieux avec la galerie.
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L'entrée est au fond d'une petite ruelle pavée peu avenante. On appréciera une excellente disposition des lieux. Beaucoup de monde dans la salle du rez-de-chaussée, l'ambiance est assez festive. Le bar est à gauche et, par la droite, on accède à une jolie courette (sièges, verdure, conversations plus calmes). Service soigné, verres à pied. Dommage que la qualité du buffet soit moyenne: vins corrects et bretzels industriels. Pour l'anecdote, la salle d'exposition est à l'étage. Il y avait cinq personnes, trois égarés qui regardaient les tableaux et un couple qui cherchait un peu d'intimité.
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Bon chardonnay et ambiance sympathique. Il suffirait de peu pour avoir un bon vernissage: quelques verres à la place des gobelets en plastique, et quelque chose à manger (fromage et pain de campagne, par exemple).
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En arrivant dans la cour de ce beau bâtiment du XVIII ème siècle, on remarquera quelques personnes avec des cafés ou des assiettes garnies de petits gâteaux. On comprendra vite qu'ils ne viennent pas de la galerie (où il n'y a pas de buffet mais un public studieux) mais sortent prendre un peu l'air avant de retourner au repas de noces dans le restaurant voisin.
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La galeriste est sympathique et propose à chacun un gobelet de vin blanc moelleux très moyen. Elle dispose pour cela d'une grande quantité de bouteilles rangées derrière le bureau. Le public assez nombreux regarde l'exposition d'un œil assez circonspect.
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Il n'y a pas de buffet. Toutefois, quelques personnes ont des gobelets avec un fond de vin blanc. Elles les ont sans doute amenés du vernissage de la galerie d'à côté. Peu de monde.
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Galerie de type white cube. Très peu de monde. A l'extérieur, un guéridon avec une bouteille d'eau, un paquet de chips et un lot de cinquante gobelets dans son emballage en plastique.
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L'entrée est sur une ruelle pavée typique. On trouvera un bon jus d'ananas et gingembre et un bon pain surprise, mais attention aux gobelets en plastique et à l'ambiance studieuse, le public s'intéressant beaucoup trop à l'exposition.
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Le Pavillon des Arts fut construit en 1831 à flanc de coteau puis très largement remodelé en 1907 par l'architecte Léopold Carlier qui dessina alors une ossature en béton armé pour enrober l'édifice. La salle d'exposition est plongée dans une pénombre du meilleur effet. Le buffet est à l'entrée. Il faudra attendre une demi-heure pour les huit discours très brefs qui se terminent agréablement par la phrase ''je vous invite à partager le verre de l'amitié''. On aura alors l'heureuse surprise d'assister à la préparation du thé par l'Amateur de Thé, grand connaisseur palois de thés qui partage volontiers son savoir encyclopédique. Le public ne se précipitant pas sur les plats, les amateurs de vernissages auront ensuite tout loisir de goûter l'excellent buffet préparé par une étudiante en art dont la cuisine est le sujet d'études (les écoles d'art seraient-elles enfin sur la bonne voie?). Tout serait parfait sans les gobelets en plastique et le vin très moyen.
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Le vernissage a lieu dans un joli jardin urbain. On remarquera les jardinières en bois et leurs plantations de thym, ciboulette, romarin, salades et pivoines. Peu de monde, une vingtaine de personnes. On ne sera pas du tout gêné par l'exposition qui est pratiquement invisible. Il faudra d'abord assister à la plantation d'on ne sait pas trop quoi, puis écouter un bref discours, pour ensuite pouvoir goûter un très bon et original gâteau aux fruits, sans gluten, sans œuf, sans lait et sans sucre. Il y a aussi de bons cupcakes framboise/citron et fraise/chocolat, des cookies aux éclats de chocolat, des brownies aux noix et chocolat. Les boissons sont assez moyennes (jus de fruits, eau et café). L'ambiance est amicale mais certaines conversations portent un peu trop sur l'art.
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Le buffet a lieu devant le musée, la plus ancienne maison du village (jolis colombages et fers forgés typiques), sur une placette où l'on profitera du soleil de fin de matinée. Pizzas, quiches, vin blanc, jus de fruits. Le tout assez moyen, mais en quantité. Verres à pied. Les discours sont brefs. Les conversations sont enjouées et se prolongent jusqu'en début d'après-midi.
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L'exposition a lieu au sous-sol du musée, un ancien palais épiscopal, dans des salles remarquablement voûtées. Les conversations sont animées et personne ne s'intéresse à l'exposition. Au bout d'une vingtaine de minutes, tout le monde s'approche joyeusement du local où le buffet a lieu habituellement. C'est donc dans une atroce stupéfaction que l'on apprendra qu'il n'y a plus de buffet.
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