En ce mardi (noir ?) la peinture semble faire office de panacée à toutes les crises. Almine Rech, comme les autres, en accroche. Vernissage sur la rue. Champagne et eau pétillante. Rien à manger. Une salle de la galerie de la cour est dédiée au concert de l’artiste qui prépare un disque. Le reste de la galerie est vide. La famille et les ami.es de l’artiste ajouté.es au personnel de la galerie constitue le gros du public. Conversations feutrées. Almine n’est pas là.